Le plus gros problème avec l’énergie solaire est que l'énergie solaire est de plus en plus déployée en pleine nature, ce qui ruine tout bénéfice écologique.
Des installations solaires gigantesques sur des espaces naturels sous prétexte de la transition écologique.
Cependant, le CNPN s'inquiète des projets aux emprises de plus en plus grandes qui émergent dans des habitats de prairies, de landes, de forêts, de lacs, de zones humides comme d'espaces agricoles, y compris au sein d'aires protégées.
Une tendance au gigantisme qui détruit les écosystèmes préexistants, en engendrant par exemple une perte d'habitat de nidification et d'alimentation pour les oiseaux.
Les panneaux photovoltaïques peuvent également constituer un piège pour les insectes polarotactiques qui viennent y pondre ou s'y poser, et peuvent engendrer des collisions avec les oiseaux et les chiroptères.
Les clôtures de protection occasionnent des ruptures de continuités écologiques pour les mammifères.
En cause, les lois sur l'urbanisme, le refus de certaines mairies d'entreprendre des travaux, mais aussi le risque d'incendies associé aux panneaux qui inquiète dans certaines villes.
Pourtant, de nombreuses études ont montré que le photovoltaïque était véritablement l'énergie du futur, mais cela, uniquement lorsque celle-ci est installée dans un espace déjà urbanisé et certainement pas dans la nature.
Le CNPN s'inquiète des projets aux emprises de plus en plus grandes qui émergent dans des habitats de prairies, de landes, de forêts, de lacs, de zones humides comme d'espaces agricoles, y compris au sein d'aires protégées.
Une tendance au gigantisme qui détruit les écosystèmes préexistants, en engendrant par exemple une perte d'habitat de nidification et d'alimentation pour les oiseaux ; la disparition d'arbres utilisés par les chauves-souris pour se reproduire, hiberner ou chasser ; un appauvrissement de la flore -- tant en quantité qu'en diversité -- et des insectes pollinisateurs qui y sont associés ; la mortalité de la petite faune qui s'y trouve lors des travaux, en particulier les reptiles et les amphibiens en phase terrestre.