Une résistance thermique élevée garantit une isolation optimale pour votre maison ou appartement.
Visez un R ≥ 3 m²K/W pour votre sol,
≥ 3,7 m²K/W pour vos murs,
≥ 6 m²K/W pour vos rampants et
≥ 7 m²K/W pour vos combles.
Respectez ces valeurs pour bénéficier des aides financières à la rénovation énergétique.
Quel coefficient R pour une bonne isolation de vos murs ?
Que votre projet porte sur l’isolation des murs par l’extérieur (ITE) ou par l’intérieur (ITI),
la résistance thermique doit être d’au moins 3,7 m²K/W,
soit en moyenne l’équivalent de 11 à 17 cm d’isolant.
Quel coefficient R pour une bonne isolation de votre toiture ?
La résistance thermique nécessaire pour isoler votre toiture varie selon la méthode utilisée et le type de paroi.
Toiture-terrasse : R ≥ 4,5 m²K/W,
soit entre 11 et 17 cm d’isolant, de type polyuréthane ou polystyrène.
Rampants de toiture (par l’intérieur ou l’extérieur) : R ≥ 6 m²K/W,
correspondant à une épaisseur moyenne de 20 à 25 cm d’isolant.
Combles perdus : R ≥ 7 m²K/W,
soit entre 21 et 32 cm d’isolant en laine ou en vrac,
ou entre 18 et 27 cm en polyuréthane ou polystyrène.
Quel coefficient R pour une bonne isolation de votre sol ?
Pour vos travaux d’isolation de sol,
par le dessous ou par le dessus,
privilégiez une résistance thermique ≥ 3 m²K/W,
soit en moyenne entre 8 et 14 cm d’isolant.
La résistance thermique doit figurer sur vos devis d’isolation pour vos demandes d’aides.
La performance requise varie selon la surface à isoler (murs, toiture, sol).
La résistance thermique, un critère d’éligibilité aux aides
Pour bénéficier des aides financières, comme MaPrimeRénov’ ou la Prime Énergie Sonergia,
votre isolation doit atteindre une résistance thermique minimale.